Retour de Feena

"Ils auront chacun une parti de nous"

"Alors je n'ai peut-être pas tout à fait tort."

"Pourquoi tu dit sa?"

*Matthieu s'assit sur le lit et allongea ses jambes.*
"il se peut qu'ils me ressemblent."

*Feena alla rejoindre Matthieu*

"Matthieu écoute chacun de ses bébés auront un parti de nous *

*Elle releva le visage de Matthieu*

"Il ne faut pas t'inquiète Matthieu tout ira bien"

"C'est le fait qu'ils aient une partie de moi qui m'inquiète. Je ne veux pas qu'il devienne... des monstres."

"Enfin voyons Matthieu se que tu dit la est ridicule tu n'ai pas un monstre, tu es un homme tendre, gentille, doux, sensible et tu es le père de nos futur enfants"

*Il leva vers Feena des yeux mouillés, pleins de larmes.*
"Feena, tu ne sais pas tout, mon amour."

"Qu'est se qu'il y a ?"

"J'ai dit... j'ai dit une chose ignoble, je n'arrive pas à me la pardonner."

"Qu'est se que c'était ?"

"c'était après que nous... enfin.. "*Il rougit.*

"Apres notre nuit"

*Il la regarda.*
"Oui. Je... je suis allé voir le faux roi, je devais me faire passer pour le Vagabond, et j'ai dit... enfin, je..."

"Que tu t'était servi de moi"

"Si ce n'était que ça. Feena, j'ai parlé de toi comme d'une fille facile, je... je ne peux supporter d'avoir dit ça de toi. Je usis un monstre, un horrible monstre, alors que j'étais si fier de ce cadeau que tu m'avais fait."

"Mais tu ne le pensais pas et je sais très bien que si tu as dit sa c'était pour me protéger et tu n'es pas un monstre je le sais et toi aussi tu le sais"

*Matthieu tourna son regard vers Feena.*
"J'aurais du t'en parler plus tôt."

"Je ne t'en veut pas Matthieu pas le moin du monde"

*Matthieu ferma les yeux pour étouffer les quelques larmes qui lui restaient. Il serra Feena dans ses bras.*
"Je suis fier, tellement fier, que tu m'aies offert ton innocence, tu ne pouvais mieux me prouver ton amour !"

*Feena se sera contre Matthieu*

*Il l'embrassa.*
"Merci d'être toi !"

"Merci d'etres la pour moi"

"Tu n'as pas besoin de moi."

"Si Matthieu j'ai besoin de toi plus que tu ne le croir"