Une rencontre et un héritage

*Lennei marchait le long de la route. Elle avait demandé à Clémence si pendant quelques jours, elle pouvait prendre un congé car elle avait reçu une étrange lettre la priant de se rendre à son ancien village où elle vivait dans son enfance. N'ayant pas de quoi payer une diligence, no un cheval, la jeune fille s'était dirigée vers ce village à pied. Elle avait décidé de ne rien apporter afin que qu'elle voyage léger. Une valise l'aurait trop encombré. Non, elle avait juste pris de quoi se désaltérer et manger lors de son voyage, tout cela rangé dans une petite sacoche qu'elle portait. Elle regarda la paysage et vit la route sinueuse qui s'élançait encore. Lennei avait compté à peu près une journée de marche pour aller à ce village, mais apparemment, elle avait vu trop juste car le soleil commençait à se coucher et auncune cheminée ne pointait à l'horizon. Dans la campagne, le bruit des oiseaux ainsi que du vent. Soudain, elle entendit un bruit de diligence derrière elle. Celle-ci manqua sérieusement de l'écraser.*

Aaaah !!

*Elle perdit l'équilibre par la surprise et la vitesse de la diligence.*

Antoine aimait se balader au coucher du soleil... Tout était plus calme. Il assista à la scene et lança son cheval pour aider la jeune personne**

"Tout va bien?" **il descendit de cheval et l'aida à se relever**

*Lennei se releva à l'aide d'un jeune homme. Pendant ce temps-là, la diligence avait continué son chemin sans prendre le temps de s'excuser.*

Oui, ça va, je vous remercie monsieur...

*Lennei essaya de marcher, mais dans sa chute, elle s'était foulée la cheville, et reperdit l'équilibre. Cependant l'homme la retint juste à temps pour ne pas qu'elle tombe une nouvelle fois.*

Aïe...

**Il se baissa et passa la main sur la cheville hfoulée, à en voir la tête de la demoiselle cela était tres douloureux**

"Je crois que vous avez la cheville en piteux état, vous savez monter à cheval?"

Euh oui, j'en ai déjà monté quand j'étais petite, mais vous n'allez tout de même pas me laisser monter sur votre cheval ? Et vous alors ?

**Il rit**

"Mais non vous montrz devant moi je tiendrai les rennes vous n'aurais qu'à me dire où vous deviez aller comme ça... Moi j'ai tout mon temps! Et je vous interdit de refuser!"

**Il la soutint et l'invita à monter**

Oh...Euh... Très bien, si vous y consentez...

*Lennei fut dirigée par le jeune homme vers son cheval. Elle le monta avec son aide et fut rejoint par le jeune homme.*

Je me demande comment je vais faire pour rentrer avec ma cheville...

"Bien... Où allons nous à présent? Je vous laisse m'indiquer le chemin. "

**il sourit... Il remarqua son air préoccupé**

"Quelquechose vous inquiète? Oh j'y pense je ne me suis même pas présenté!!! Je suis le comte Antoine de Jarjaye! "

*Lennei sortit de ses pensées en entendant le rang de l'homme.*

Comte ? Oh... je... je vous remercie...

*Lennei fit une pose et prit la parole.*

Pardonnez-moi si ma surprise vous a offensé, mais tous les nobles que j'ai connu, n'étaient pas aussi... gentils que vous, monsieur le Comte...

*La jeune fille afficha un petit sourire et pointa le doigt vers l'horizon.*

Là-bas, il y a un village. C'est là où je dois me rendre...

**il sourrit**

"bien des nobles sont imbu de leur rang... Personellement les voyages que j'ai fait m'ont permi de voir la misère qu'il y avait non seulement en France mais dans le monde ce qui vous remet à votre place d'Homme ordinaire... Alors non vous ne m'offensez pas... Mais nous allons accelerez un peu le pas car si vous devez vous rendre là bas et vu que vous devez être soignée il nous faut arriver avant qu'il ne soit trop tard dans la nuit.... Surtout dites moi si l'allure du cheval est trop rapide je ne voudrai pas vous faire souffrir inutilement!"

**il acceléra progressivement par de petit coup de talon répété (HJ mieux que les levier de vitesse )**

[HJ tu l'as dit ]

Merci monsieur...

*Lennei s'accrocha un peu au comte, surprise par l'accélération du cheval. Certes, elle en avait déjà monté dans son enfance, mais c'était souvent des chevaux de traits.*

Dîtes-moi, si je fais référence à notre nom, vous devez faire partie de la famille d'Oscar de Jarjayes, non ?

"oui c'est mon cousin... Vous le connaissez?"

A vrai dire, j'en ai entendu seulement parler, mais je sais qu'on lui attribue les plus grands mérites... Ma mère rendait souvent visite à un de ses oldats lors des journées de visites à la caserne et c'est comme cela que j'en ai entendu parler...

"Oh je vois! et bien racontez moi donc ce que vous savez sur lui "

Oh vous savez, je ne sais rien de spécial... D'après ce que ma mère m'avait raconté, le colonel De Jarjayes est un grand homme, aimé et soutenu par ses soldats... D'ailleurs l'homme qu'elle rencontrait était dévoué à Monsieur de Jarjayes...

**Intrigué**

"Qui était-ce?"

Je ne sais pas... Elle ne m'a jamais dit qui était ce soldat si dévoué à votre cousin...

*Le regard de Lennei se perdit dans le vide, sur le simple fait de repenser à sa chère mère, maintenant morte depuis 2 ans.*

"Je suis désolé si je vous ai chagrinné."

*Lennei releva la tête.*

Pourquoi dîtes-vous cela ?

*Malgré sa question, la jeune fille supposait la réponse du comte.*

"Pardon mais vous aviez l'air si ... ailleurs soudainement..."

*Lennei sourit pour rassurer le comte.*

Ce n'est rien, ne vous inquiétez pas... un souvenir rien de plus...

*La monture du comte galopait toujours mais avec une personne en plus, elle se fatiguait plus vite. De plus, la nuit était maintenant presque tombée et Lenne commença à avoir froid. Elle frissonna, lorsqu'elle vit au loin plusieurs cheminées qui laissaient échapper de la fumée.*

On y est

**Il la sentit frissoner. Il la fit descendre de cheval apres être descendu et lui mis sa veste sur ses épaules**

"Appuyez vous sur moi...."

*Lennei fit ce que lui demandit le comte, sans broncher. C'était la première fois qu'elle voyait un noble si clément avec les autres d'un autre rang. Lennei le remercia d'un signe de tête et d'un petit sourire.*

**il arreta une jeune personne lui demandant où se trouver le médecin. On lui indiqua une petite maison où le comte frappa. Une jeune femme lui ouvrit. Antoine lui expliqua la situation et on les fit entrer dans la pièce réservée aux consultation. le médecin arriva et s'occupa de la jeune femme. il lui banda la cheville lui conseillant de ne pas marcher pendant une quinzaine de jour et de poser le moins possible le pieds à terre. Antoine régla là note du médecin et demanda à Lennei si elle savait où passer la nuit**

"Si vous n'avez nullepart où dormir je pourrai rester ici attendre que vous ayez fait ce pourquoi vous êtes venu, et vous ramener à cheval à votre logis."

A vrai dire, j'avais songé à loger chez une amie, mais le docteur m'a dit qu'elle et sa famille était partie chercher fortune ailleurs. Du coup, je n'ai pas d'endroit où loger..., mais je ne voudrais en aucun cas vous faire perdre votre temps !

*Fit Lennei précipitemment. C'est vrai, elle ne voulait pas abuser de la gentillesse d'une personne.*

Vous avez sûrement d'autres affaires qui vous concernent ailleurs, et je ne voudrais abuser de votre gentillesse monsieur le comte ! Et puis, mon entretien avec l'expéditeur de cette lettre risque peut-être d'être long...