Appartement d'Antoine B. de jarjaye

"Malheureusement je ne connais pas suffisament Isis pour juger de sa ressemblance avec Oscar"

"Mais peut etre devriez vous venir à Jarjaye pour voir Oscar je pense que cela lui ferai plaisir..."

"Oh vraiment ?! Je ne veux pas m'imposer."

"Ne vous inquiètez pas je préviendrai Oscar de votre arrivée et puis je vous le dis elle sera ravie d'avoir un peu de visite... "

"Je vois bien que sans André elle n'est plus la même mais que fait-il celui là j'ai deux mot à lui dire moi ... mettre ma cousine enceinte et la laisser en plan là il va entendre parler du pays!"

**son regard passa de l'inquiètude à une irritation certaine puis retrouva son calme... Il venait de se rappeler de la présence du comte et reprenait sur lui**

"Tiens j'ai cru lire de l'inquièture Oscar aurait elle des ennuis ?!

Bien je me ferais une joie d'aller la voir !"

*elle se leva ecrasa son cigare*
"Bien Monsieur je ne vais pas vous déranger plus longtemps ...."

**il se leva**

"Vous ne me dérangez pas mais je comprends que vous ayez à faire."

**Il lui tendit la main**

"Vous serez le bienvenue ici... Venez simplement ma porte vous sera ouverte. Et surtout n'hesitez pas en cas de besoin..."

**son regard se porta sur le tableau de son épouse et il se remémora les parole de sa cousine "tu ne te souviens d'elle que de cette image! Elle, son corps dans le sang et pas de la jeune femme vivante et souriante que tu aimais, ton esprit est hanté par cette vision de la femme que tu aime et pas par la réalité!"**

"Je ne veux pas oublier ton sourire ma petite fleur..."

*Voyant qu'il regarder le tableau elle lui dit*
"Ne gardez que son bon souvenir."


*elle laissa un leger blanc et dit*
"Au plaisir Monsieur !"

**revenant sur terre**

"Vous avez raison monsieur... A bientot"

**Il se deplaca pour lui ouvrir lui meme la porte de l'appartement**

"et surtout venez nous voir à Jarjaye."

*elle sortit de l'appartement*

"Oscar....auriez vous des ennuis ?!
Il faudra en effet que je passe à Jarjayes pour en avoir le coeur net !"

>>Werewolf

**a peine antoine avait-il fermé la porte qu'il entendit frapper**

**il ouvrit**

"A c'est vous! entrez..."

**Un homme grand bun, mat de peau entra... Il avait une carrure impressionante et un regard sombre.**

"J'espère que vous n'avez pas eu de problème?"

l'homme : "non"

"Bien. Mais permettez moi de vous demander pourquoi vous tenez tant à assurer ma protection ainsi. J'avoue ne pas comprendre. j'ai laissé la turquie derrière moi. Je ne veux plus revenir la dessus. et à coté de ça cela fait à présent 2 ans que vous me suivez."

"Mon frère a tué votre épouse...Je me dois d'agir ainsi c'est une question d'honneur."

"L'honneur ... cette question a été réglé quand j'ai moi même vanger mon épouse... Vous n'êtes obligé de rien."

**il observa l'apartement du comte**

"permettez au moins que je me mette à votre service"

**de guerre lasse**

"Et bien soit faites donc ce que vous voulez! Moi je sors et je vous interdit de me suivre! c'est un ordre!"

"bien"


**Antoine sortit et l'homme fit venir le restant des affaire d'Antoine. il arrangea l'appartement gardant la noblesse de celui qu'il considérait à présent comme son maitre puis prépara le diner**

"Je ne veux pas lui dire que mon frère à violer sa femme... Je ne le peux pas... Il ne doit plus souffrir à cause de cela... Et je veillerai à ce qu'il ne risque plus rien parole d'Achraf!"

HJ : Achraf en arabe signifie "tres noble"

=> Jarjaye. Retour contrarié

**le comte entra portant Lennei et la déposa sur le sofa.**

"Voulez vous boire quelque chose?"

**Achraf entra dans le salon dicretement et comprenant les intentions du comte il sortit préparer la chamre d'ami. Il revient quelques minutes plus tard**

"La chambre d'ami est préte monsieur."

"Bien. Achraf, si jamais je dois m'absenter pour _ne raison ou une autre je veux que tu veille sur cette jeune femme comme si ma vie en dépendait. Est ce clair?"

"Oui monsieur."

*Lennei était gênée que l'on s'occupe d'elle ainsi. Depuis toute petite, elle avait appris à être autonome et à s'occuper d'elle-même toute seule.*

Non, je vous remercie... Même si cette entrevue m'a un peu destabilisée, je n'ai pas soif, merci de votre attention !

*Lennei observa les appartements du comte. Elle découvrit de ses propres yeux, la richesse du château de Versailles. Elle qui trouvait sa chambre à l'auberge que Clémence lui avait donnée superbe, ici elle était légèrement inférieure à la beauté des appartements du comte. Se détachant de sa contemplation, Lennei prit la parole en entendant le comte ordnner à son serviteur, se nommant Achraf apparemment, de veiller sur elle comme si sa vie en dépendait.*

J'aimerais savoir monseigneur... pourquoi faîtes-vous tout cela ? Vous savez, je pourrai très bien me surveiller toute seule !

*Encore une fois, la franchise de la jeune fille avait fait surface.*

**Il haussa les épaules**

"Ne dites pas de sottise comment voulez vous protéger dans votre état!"

*Lennei allait protester, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. En y réfléchissant, le comte avait raison car avec une cheville foulée, on ne pouvvait pas faire grand chose. Elle baissa la tête, consciente d'avoir perdu.*

Pardonnez-moi...

*Toujours allongée sur le sofa, Lennei tourna son regard vers le fenêtre où l'on pouvait regarder ce qu'il se passait dans les jardins de Versailles. Que c'était magnifique ! Son regard se perdit dans l'immense beauté que donnait le paysage.*

"Ne vous excusez pas vous n'etes pas en faute."

**Il pris une couverture et la posa sur la jeune femme avant de prendre un livre.**

*Lennei vit que le paysage du jardin de Versailles s'assombrissait. Apparemment le soir allait bientôt tomber et elle n'avait toujours pas prévenu Clémence de son absence. Celle-ci devait s'inquiéter et avec sa cheville, Lennei ne pouvait aller bien loin. Le docteur de village lui avait dit qu'elle en aurait pour quelques jours. Elle remonta la couverture que lui avait mis le comte, sur ses épaules car celle-ci commençait à glisser. Elle tourna la tête et remarqua le comte en train de lire.*

Que lisez-vous, si ce n'est point indiscrêt ?

"Non ce n'est pas indiscret c'est Rousseau, les reveries du promeneur solitaire."

**il se tit un instant**

"Peut etre avez vous quelqu'un à prévenir de votre absence?"

*Lennei acquiesça et se redressa.*

Oui car si j'ai bien compris, vous avez l'intention de me faire vivre ici et donc je ne pourrais pas aller à l'auberge exercer mon travail afin d'aider Clémence...

*Lennei s'assit sur le sofa, prenant garde à ne pas poser son pied à terre. Puis elle posa un regard de jade sur le comte.*

Pourrais-je envoyer un message à Clémence ?

"Bien sur et Achraf la lui transmettra j'ai toute confiance en lui"

Très bien, je lui ferai donc confiance aussi.

*Répondit Lennei avec un sourire. Elle prit le papier qui était posé sur une table près du sofa, ainsi qu'une plume d'oie. Puis elle entreprit d'écrire son message. Toute était silencieux dans la pièce, sauf la plume qui faisait entendre ses crissements sur le papier. Lorsqu'elle eut fini, Lennei attendit que l'encre sèche, et la plia. Tout en la pliant, elle bénéficie sa mère de lui avoir appris à lire et à écrire.*

"Achraf!"

"Oui monsieur."

"Tu iras donner ceci à Melle Clémence à l'auberge."

"Bien monsieur."

"Voila mademoiselle. Ce message arrivera a destination n'ayez crainte.''

**Achraf pris la lettre et sortie**

Merci, monseigneur ! Je me demande bien comment je vais pouvoir m'acquitter de ma dette envers vous, maintenant...

*En effet, Lennei ne savait comment remercier le comte pour tout ce qu'il faisait pour elle.*

"en restant en vie et en devanant une reine...."

Comment voulez-vous que je devienne reine sur un royaume qui se trouve dans les airs ? Et puis... en y réfléchissant, je ne sais même pas où il se situe !

"Vous le saurez bien en temps voulu... Mais pour cela il vous faut deja rester en vie."