Appartement du Comte Integra Van Werewolf

*Integra rendra dans cette magnifique pièce*
" Et bien quel grandeur, c'est splendide, il faudra que je remercie la Reine et que je face apporter mes bagages ici. Il faudra aussi que je fasse savoir que je loge ici, s'il l'on veut me contacter!"

*et bien je ne pensais pas trouver autant de chose à Paris, des amis, une femme qui comme moi a était obligé de se travestir, et ..... oh non il faut j'arret de penser à ce Comte de Girodelle, mais son image me hante !!
Oh mon dieu que dois je faire, je me suis enfuie de Transilvanie , mon père me croit morte, pour refaire ma vie mais je ne connait rien à la vie de veut et je ne suis pas ur de vouloir devenir une vrai femme, esclave des hommes de cette époque.
Oh a qui demandé conseil, a qui parlé de mes problemes?*

"Merci de m'avoir accompagné Feena, le medecin viens de partir, je doit rester alité quelque jours et éviter d'utiliser mon bras.... mais il n'y a rien de tres grave. Et Girodelle comment va-t-il ??"

*cette attente m'est insoutenable, je doit voir Girodelle, je veux savoir ce qu'il en ait !!*

"Je suis soulageais de voir que tu n'as rien de grave .Girodelle je n'ai pas de nouvelle de lui veut tu que j'appelle Monsieur de Fersen pour te dire comment va Girodelle il est a coter"

* Je me rendis dans les appartements du jeune Comte.*

"Comment allez-vous mon ami?
Je vois que votre blessure est beaucoup moins grave qu'elle ne paraissait."

"Monsieur De Fersen comment va Girodelle"

*tres inquiete pour Girodelle*

"Oui ce n'est rien de grave. Monsieur de Fersen donner moi des nouvelles de Girodelle ! Est-ce qu'il va mieux ?? A-t-il repris connaissance ??"

"Je suis navré,il n'a pas encore repris connaissance,mais le médecin a bon espoir.
Girodel n'est homme à se laisser emporter par un telle blessure,rassurez-vous."

"Tu vois werewolf il n'y a pas a s'inquiète .Monsieur De Girodelle va guérir très vite"

*oh faite que Fersen ait raison et que mon cher Comte de Girodelle se reveille vite !!!*

"J'espere que vous avez raison Comte de Fersen. Je n'ai pas eu le temps de vous remercier...... sans vous ne serions toujours dans ce bois à nous vider de notre sang, merci à vous deux."

* Touché par toute l'émotion qui trahit la voix du jeune Comte, je commence à chercher quels liens peuvent bien unir ce jeune Comte et Girodel.*

"Si vous le désirez vous pouvez vous rendre à son chevet.
Je suis sûr que Girodel sera heureux de vous savoir sain et sauf à son réveil."

*Je s'avais quel mourait d'envie d'allez voir Girodelle alors je lui proposa mon aide pour se levait*

"Attend je vais t'aide"

*se levant péniblement*
*il faut que j'aille le voir, je resterais à son chevet jusqu'a ce qu'il se reveil !!*

"Oui, je pense qu'il sera rassuré, j'y vais de ce pas" * dit elle enthousiaste à l'idée de voir Girodelle*

*cherchant une excuse qui pourrait expliquer pourquoi je tiens tant à me rendre aupres de Girodelle*
"Ce cher Comte a pris ce coup d'épée en s'interposant entre l'agresseur et moi même, c'est moi qui devrais être à sa place. Il est normal que je me préocupe de son état de santé."

" Je reconnais bien là l'esprit chevaleresque de notre cher Girodel "


"Quoique habituellement ce sont les dames qui en bénéficient "

*répondant à Fersen, pensant à son cher Girodelle*
"Oui, il est tous simplement merveilleux ...."

*se rendant compte de ce qu'elle venait de dire, Integra senti ses joues rougir*
"Hum... je veux dire c'est merveilleux ......ce qu'il a fait pour moi."

*très genée par les mots qu'elle venait de prononcer qui pouvait trahir ses sentiments pour Girodelle*
"Bien je me rends à son chevet, a bientot Monsieur de Fersen."

"Oui on y va allez c'est parti"

*J'alla cherche le livre que werewolf m'avait demander de lui apporte*

"A le voila"

*Je le pris et retourna dans les appartements de Girodelle ou werewolf m'attendait*

*Après quelque jours la blessure d'Integra était guerri, elle mourait d'envie d'aller voir Girodelle mais elle ne voulait pas paraitre frivole, elle attendait donc avec impatiente la venu de Girodell*

*Se parlant à elle même*
"Girodelle devrait être rétabli..mais il n'est toujours pas venu me rendre visiter. Peut etre que ce baiser n'était rien. Peut etre n'éprouve t il rien pour moi. Comment ai je pu croire qu'un homme comme Victor de Girodelle pourrait m'aimer !?
Il faut que je sorte j'étouffe ici, allons faire une promenade dans les jardins de Versailles, la solitude et le grand air me ferrons du bien.Et puis mon cheval a lui aussi besoin d'exercice.Puisqu'il ne souhaite pas se montrer, au diable Girodelle !! "

*très enervé et déçu de constater que Girodelle ne s'est pas présenté, elle sorti en claquant la porte*

*de retour dans ses appartement après une balade à cheval dans les Jardins de Versailles*

"Et bien je n'ai trouvé aucune réponse à toute les questions qui m'obsédées, je suis toujours enervé de ne pas encor avoir vu Girodelle, mais je suis epuisée, il faut que je me repose."

*Apres s'être rafaraichi, Integra s'endormi sur son lit sans meme avoir pris le temps de se déshabiller, elle était là, couchée toute débraillée sa chemise entre ouverte laisser apparaitre sa peau, ses cheveux en pagaille, elle ne pensait plus à son chagrin à cause de Girodelle, mais dans le rêve qu'elle faisait elle s'imaginer encor dans ces bras.*

* Bien que ma blessure ne soit pas totalement guérie,je me rends dans les appartements de celle qui depuis peu hantait mes nuits.
Je reste un instant derrière la porte en attente d'une réponse qui malheureusement ne vient pas.*

*Soudain je suis pris de vertige,je songe à regagner mes appartements,mais ils sont beaucoup trop éloignés.
Je me résouds donc à pénétrer dans les appartements d'Integra.*

*Alors que je me dirige vers le petit canapé du salon,de légers gémissements provenant de la pièce à côté attirent mon attention.
Intrigué,je me dirige là avec le sentiment de violer l'intimité de ma belle.
Mon coeur s'arrête en la voyant là si fragile dans ce lit,ses cheveux éparses sur l'oreiller comme des fils d'or,je devine ses divines coubes au travers de sa chemise légèrement ouverte.
Un irrésistible besoin de les caresser,mais je me fais violence pour ne pas troubler son sommeil.
Je choisis donc de m'installer dans le fauteuil à son chevet pour veiller sur ses rêves.*

" Integra,dormez mon ange,j'attendrai toute la nuit s'il le faut.
Reccueillir le premier rayon de vos yeux,votre premier sourire du matin sera ma plus grande joie."

* Après quelques heures de veille,la fatigue eut raison de ma résistance.*

*l'aube ce léve, n'ayant pas pris le temps de fermer les rideaux de ma chambre un léger rayon de soleil pénêtre dans la pièce et caresse doucement mon visage. Je mets quelque minute à émerger d'une nuit ou tous les rêves que j'ai fait été pour l'être aimé.*
*les yeux toujours fermés, je murmure*

"Oh mon cher Victor-Clement de Girodelle .....tous ceci n'etait donc qu'un rêve?!"

* La lumière du jour et le son de sa voix traversent la barrière de mon sommeil.
Je me lève pour me raprocher d'elle,un sourire éclaire mon visage.*

"Vous rêvez de moi!"

*Je me penche sur son doux visage pour goûter une fois encore ses lèvres.*

*une douceur au gout fruité touche mes lévres? J'entrouve les yeux et j'apercoit Girodelle, un sourir beat se dessine sur mon visage encor à moitié endormi*

"Oh ! Je fais encor se rêve où ...."

* tous en dissant ceci je pose ma main sur le visage de Girodelle*
"Quel beau visage....."

*je viens juste de me rendre compte que ce n'était pas un rêve et que Girodelle est bien là devant moi, ma premiere reaction est un sursau*

"Haaa ...."
*En un bon je me retrouve debout face à Girodelle*

"Girodelle c'est vous ?!! Je...... vous ......nous ....."

*tous à coup elle se rendit compte que sa chemise entre ouvert lui faisait un décolter et laisser apparaitre sa peau, et que sa chevelure etait en pagaille.*

"Oh mon dieu quelle tenue !!"
*Ses joues devinrent rouge*

"Vous .....heu..... votre....blessure ???"
*elle essayé de faire une phrase mais la surprise de voir Girodelle ici la perturbé, elle decida de cesser de se ridiculiser. Et essaya de mettre de l'ordre dans sa chevelure en y passant sa main.*