Chambre d'Isis

*Isis était assise et lisait en regardant de temps à autre à travers sa fenêtre, la lune scintillante*

**antoine frappa à la porte nerveux**

''Oui, entrez''

**antoine entra**

"je peux vous parler un instant?"

*elle tendit sa main vers un siège*

''Je vous en prie''

**il prit place**

"je viens de parler avec Oscar il y a quelques instant... Nous en sommes venue à parler de vous..."

**Antoine était un peumal à l'aise et ne savait pas trop comment et par où commencer**

''Quelles conclusions avez vous tiré de cet entretien?''

*Elle semblait calme en apparence rien ne trahissa son inquiétude*

**il se leva et arpenta la pièce... Il hésitait et cela ne lui resssemblait guère de se laisser aller à la nervosité.**

"Nous avons parlé de votre volonté de former un rempart à l'amour.... comme vous le savez certainement Oscar et moi meme avions le meme comportement à une époque...."

''Je vois, qu'avez vous décidé?''

"Pourquoi voulez vous que nous décidions à votre place? je suis juste venu vous parler... Laissez moi vous raconter quelque chose.Il y a bien longtemps oscar et moi meme avions ce comportement nous apparaission froid dur et insensible... Tout ce que nous en avons reçut... c'est de la souffrance et de la sollitude... "

**il regarda Isis... Pour la première fois il la déttailla réellement... il la trouva tres belle. elle était un peu plus jeune que lui... Pourtant il ne pouvais détacher son regard de ses yeux... cette fierté qu'ils possédaient le fascinait. Par politesse il détourna le regard.**

''La solitude fait moins mal que l'amour j'en sais quelque chose''

*Elle se leva et alla se poster devant sa fenêtre*

"Je ne sais..; Mais peut etre devriez vous avant que je ne donne un quelconque avis me dire ce qu'il vous est arrivé.."

''Un homme français est arriver un jour dans mon pays, il avait mon âge, était bel homme et nous sommes tombé amoureux, pendant des semaines nous avons vécus des moments merveilleux, il me repétait qu'il m'aimait, qu'il resterait avec moi, mais il rencontra la-bas, une comtesse française fortunée et très belle, il me délaissa et prit le premier bateau qui repartait en France le jour même. Vous connaissez les raison qui me poussent à agir ainsi''

*Elle avait fermée les yeux, laissant quelques larmes couler sur son visage, ses poings crispés*

**il posa ses mains sur les épaules de la jeune femmeet se mis à sa hauteur. il la regarda droit dans les yeux.**

"Je comprends votre douleur.. mais tous les hommes ne sont pas ainsi..."

**il lui raconta son histoire omettant les oreur de la tueries mais lui faisant comprendre (ou du moins essayant delui faire comprendre) qu'un homme peu aimer une femme par delà la mort...**

''vous aussi avez eu mal, mais moi, je en veux plus avoir cette douleur que j'ai ressentit, alors je protége mon coeur de cet amour traitre''

**il ferma les yeux... il souffrait de voir l'aveuglement dans lequel la jeune femme s'enfermait...il l'invita à se relever**

*elle se releva, attendant*

**il la serra tendrement**

"Ne vous enfermer pas ainsi... La sollitude est la pire des souffrance je ne le sais que trop... Refflechissez-y promettez le moi."

*Isis resta un moment paralysée par le geste d'Antoine, elle ne s'attendait pas à cela*

''Oui...''

*murmura t'elle*

**il la serra un peu plus contre lui**

"Merci.. Je sais que l'amour peut etre une immense souffrance mais lorsque nous trouvons la bonne personne c'est merveilleux."

*elle n'osait plus bouger, bizarrement elle se sentait bien dans les bras de cet homme*

''non! C'est impossible! Je déteste les hommes!! On ne peut leur faire confiance!!''

"Je suis bien là... Je ne veux plus bouger..; pourquoi rompre ce moment merveilleux? Ingrid... Mon dieu que suis-je en train de te faire... "

**il hésita à bouger.. il resta là immobile...**

*Isis non plus ne bougeait pas, elle se sentait bien, mais son coeur luttait avec sa raison*

"Isis... Je ne sais plus quoi faire... Ingrid... Vous... Je suis perdu... Je suis si bien... Mon dieu...."

''Je...je ne puis..vous répondre...''

''Que lui dire alors que moi aussi, je suis perdue''