Appartement du Comte Victor-Clément de Girodel.

**Elle observait avec inquiètude la réaction de son ami**

HJ: pardon, juste une petite remarque Erika, mais je ne suis pas sure que tu puisses faire 'bouger' un perso s'il n'est pas le tien dans un jeu de roles... Je sais que Fersen n'est pas souvent là mais bon...

re HJ : Oui c vrai, meme si moi perso ca m'arrage ...... ben c'est vrai Fersen à un peu ...disons ..... cassé l'ambiance En plus je suis sur qu'il l'a fait expres !! jaloux ?!

HJ je l'ai mis au courant par MP on corrigera ca quand il sera là!

" Permettez mes amis,mais Mademoiselle Victoria Hellsing ici présente et moi désirions nous entretenir en priver."

" J'espère que le message est passé,car je vais finir par perdre la raison à force de prendre des douches froides "

* J'ouvre la porte de mes appartements pour signifier la fin de cet entretien en espérant vivement qu'aucun d'eux (Surtout Fersen) n'ait l'idée de taper l'incruste *

"Venez mon amie "

*Doucement je glisse ma tendre compagne vers l'intérieur de mes appartements la couvrant d'un regard brûlant.*

"Nous entretenir en privé...... ?! "

*Quelque peu embarrasser par la franchise de Girodelle, je fuit rapidement le regard de Fersen et penetre dans les appartements de mon aimé. Ne souhaitant pas qu'il s'attarde à discuter, je l'attire avec moi le tirant par la main, précipitant son entrée dans la pièce, et brulant la politesse, je referme la porte.

Laissant je l'imagine un Fersen sans voix de l'aute coté de cette porte qui lui ait fermé au nez.

Nous nous retrouvons, seul, dans l'obscurité des appartements de l'être aimé, Girodelle.

Je laisse échapper un leger soupir de soulagment tout en prenant appui, posant le dos, sur cette porte enfin close*

*Perplexe je fixe la porte qui vient de se refermer sur le couple Girodel et cette belle inconnue dont les traits pourtant me rappel quelqu'un.*

" Et bien Mademoiselle Erika,il ne nous reste plus qu'à nous eclipser
Laissons notre petit couple à ses bavardages "

" Allons-y!"

=> Appartement d'Intégra

Integra van werewolf a écrit:

"Nous entretenir en privé...... ?! "

*Quelque peu embarrasser par la franchise de Girodelle, je fuit rapidement le regard de Fersen et penetre dans les appartements de mon aimé. Ne souhaitant pas qu'il s'attarde à discuter, je l'attire avec moi le tirant par la main, précipitant son entrée dans la pièce, et brulant la politesse, je referme la porte.

Laissant je l'imagine un Fersen sans voix de l'aute coté de cette porte qui lui ait fermé au nez.

Nous nous retrouvons, seul, dans l'obscurité des appartements de l'être aimé, Girodelle.

Je laisse échapper un leger soupir de soulagment tout en prenant appui, posant le dos, sur cette porte enfin close*

*sa parole allant plus vite que sa pensée Integra laissa échapper une phrase de soulagement*
"Ha...enfin seuls"

"Oh mon Dieu !! Qu'ai-je dit !! peut être ne m'a-t-il pas entendu !! "

"Enfin seuls" *Dis-je à mon tour en approchant lentement mon visage pour goûter à nouveau les délices offerts par cette délicieuse bouche.*

"Si nous reprenions la conversation interrompu par Fersen"
*Sur ces derniers mots j'encercle sa fine taille pour l'attirer encore plus près de moi.*

*Se laissant volontiers attiré près de lui. Elle dit d'un air coquin*

"Ha oui !?
Et ou en etions nous ?! "

"Et bien je disais ceci."

*Pinçant délicatement sa lèvre inférieure des miennes.*

"Et vous disiez..."

*Je fais glisser mes lèvres sur sa gorge satiné.*

*Frisson de plaisir*
"Je disais ....."

*elle rapprocha son corps un peu plus près de celui de Girodelle et d'une main délicate ouvrir le premier bouton de la chemise du Comte.
S'arretant à ce premier bouton elle lui offrit ses lèvres.*

"J'apprécie de plus en plus notre conversation "

*M'empare de ses lèvres.*

*entre deux baisers*

"Je la trouve... très....passionante !"

*Integra osa ouvrir un autre bouton de chemise, elle pouvait à présent voir cette peau blanche qu'elle avait apercue et avidement regardée, la meme ardeur quasi incontrolable s'emparait d'elle.
Elle se recula un peu de Girodelle, mettant fin au baiser, pour se calmer*

"Mon Dieu, que se passe-t-il, quels sont ces étranges changements qui s'opèrent en moi? Je veux plus que tout être sienne, je le sais mais est-ce convenable?"

*Je sens la douche froide pointer.*

"Integra êtes-vous certaine...
Souhaitez-vous que l'on s'arrête là." * la mort dans l'âme *

"Non, c'est que.....tout ceci est si nouveau pour moi ....Je....je dois avouer que j'ai un peu peur."

*Integra se blottit dans les bras de Girodelle*

"Je me sens pourtant en sécurité auprès de vous ...."

"Vous n'avez rien à craindre ma douce."

*Plus audacieux que jamais,je soulève ma tendre cavalière et la porte jusqu'à la chambre,je la dépose sur ma couche non sans avoir tout d'abord bien refermé la porte de la chambre.*

*Se laissant porter par Girodelle,Integra se sentait en securité, à la fois forte et pourtant si fragile, jamais Integra ne s'etait sentie aussi Femme qu'entre les bras de Girodelle.*

"Je ne crains rien lorsque je suis auprès de vous...."
*lui murmura-t-elle, fermant les yeux alors qu'il la déposait sur le lit*

*Je m'agenouille près du lit,le regard chargé d'émotion je n'arrive à réaliser qu'elle est la si proche de moi.
Comme pour être certain que ce n'est pas encore un rêve,j'ose à peine effleurer ses lèvres des miennes.*

"Humm! Quel parfum ma douce.
Vos lèvres ont un goût unique dont je ne me lasserai jamais."

*de sa main Integra caressa doucement la joue de son aimé, elle le dévisagea tendrement.
Plongeant son regard dans le sien, elle était comme transporté, oubliant même jusqu' au lieu où elle se trouvait....elle esperait avidement qu'il allait l'embrasser, la serrer, tous un tas de désir lui brulait les lévres .... elle n'osa rien lui demander mais se hasarda à dire*

"Mais je ne comptais pas vous en priver."

*finissant sa phrase elle l'embrassa*

* Devant cet élan d'ardeur je réponds avidement à ce baiser tout en me glissant près d'elle sur ma couche.*

*un mélange de peur et d'exitation s'empare de tout mon corps, ne sachant que faire, je me laisse guider par mon instinct, passant une main dans ses doux cheveux*